Bonjour.

Je ne connais pas Boku en particulier (mais j'adore ce nom !) mais si le réservoir de la chasse se remplit normalement, il ne peut s'agir que d'un dépôt qui s'est fait dans l'alimentation Boku (robinet d’arrêt de votre photo ou dispositif Boku lui-même.
Je commencerais par vérifier le robinet qui doit être équipé d'un filtre.
Bon courage !

Bonjour.

Un manchon femelle/femelle et un bout de tube pvc du diamètre approprié (40mm sans doute), un peu de colle et hop, non ?

Bon courage pour votre emménagement.

Bonjour à tous, plus habitué du forum électricité, je me permets aujourd'hui de solliciter les plombiers...

Je suis confronté à un problème de présence sable dans un petit appartement situé au 3éme étage d'un immeuble qui en comporte 4.
En cherchant la cause d'un débit devenu quasiment nul en quelques jours sur le circuit ECS, j'ai trouvé beaucoup de sable dans le circuit d'eau froide et notamment dans le groupe de sécurité du ballon. Je crois qu'il s'agit bien de sable car les grains ne réagissent pas du tout au vinaigre et ne sont pas attirés par un aimant.
J'ai pu en retirer un bon demi-verre en nettoyant le groupe de sécurité, la vanne LL et le mitigeur du lavabo. J'en ai récupéré également à la connexion EF du ballon.
Aucun des voisins que j'ai pu questionner n'a rien constaté chez eux et il n'y a pas eu de travaux récents sur les parties communes.
J'ai nettoyé le mieux possible, j'ai remis en service et ça à l'air d'aller pour l'instant mais je crains une rapide récidive vu la quantité de sable présent et la difficulté d'accès pour faire un vrai décrassage.
Voici enfin ma question : pensez-vous que ce sable est le produit d'une dégradation du ballon et qu'il s'y trouve encore en grande quantité ? Mais dans ce cas, comment aurait-il pu franchir l'anti retour du groupe de sécurité (à contre courant par gravité ?) et faudrait prévoir de changer le ballon qui doit être très lourd s'il est plein de sable) ou je peux essayer de le purger en envoyant de l'eau par la connexion chaude et en récupérant la boue coté froid ? Je joins un petit schéma du circuit assez simple du logement et je vous remercie de m'avoir lu jusqu'ici !

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Bonjour.

Pour mettre le poussoir suspect hors de cause, il faut débrancher les deux fils au niveau du bouton poussoir et les mettre prudemment et brièvement en contact.
Si le télérupteur est commandé, le poussoir est en cause.
Sinon, il faut vérifier l'autre extrémité des fils : ils sont raccordés à un autre bouton poussoir ou directement au télérupteur.
Il n'est pas nécessaire de chercher des problèmes de bobine si les autres commandes fonctionnent !
Bon courage, tenez-nous au courant des résultats de vos vérifications.

Citation :
Notre forum vous a aidé, aidez le forum !

C'est chose faite, et avec plaisir !

Il faudrait voir si les fils de la bobine R1-2 sont bien soudés. J'ai donc sorti la loupe et, bien vu : une des extrémités du bobinage était cassée au niveau de la soudure. J'ai retiré le scotch isolant, déroulé un tour et refait une petite soudure sur le bornier. J'ai remballé le tout et mesuré la résistance entre 2 et 5 : elle valait désormais 9.2 kΩ.

J'ai testé le relais en conditions réelles sans la coque et, dès le démarrage, l'électro-aimant fonctionnait et le contact s'ouvrait. J'ai mesuré les tensions pendant le fonctionnement :
bobine relais : 250 v
condensateur de démarrage : 0 v
condensateur de marche : 360 v

Je crois que nous tenons le bon bout ! J'ai recommandé un vrai condensateur de démarrage : 160 µF 250V pour remettre l'installation dans sa configuration d'origine. Verdict dans quelques jours en espérant que ma réparation sur le relais soit pérenne : c'est très délicat !

Je ne vous remercierai jamais assez pour le temps que vous avez passé et la bienveillance de vos explications ! TOP GL !

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Bonjour @GL et une fois de plus merci pour votre disponibilité !

J'ai suivi vos conseils et j'ai mesuré les résistances (relais déposé) :
Entre 1 et 2 au repos : 0.8 Ω
Entre 1 et 2 en agissant manuellement sur le contact : infini
Entre 2 et 5 (sans surprise par rapport à la mesure effectuée précédemment directement aux deux extrémités de la bobine) : infini

Citation :
Vous pouvez aussi regarder comment se comporte le composant quand vous faites un démarrage de la PAC.

J'ai ensuite rebranché le relais mais sans la coque, de façon à laisser le dispositif apparent mais rien ne se passe mécaniquement lors du démarrage du compresseur malgré une tension aux bornes de la bobine égale à 280 v.

L'hypothèse semble donc bien se confirmer mais, sans abuser de votre disponibilité, 2 questions me taraudent :
Si ce composant n'est rien d'autre qu'un relais électromécanique, cette pièce n'a rien de spécifique mais je m’étonne de ne pas y trouver les caractéristiques habituelles (tension bobine, tension max et intensité max du contact sec).
Pensez vous qu'il y a péril à laisser l'installation fonctionner avec les deux condensateurs 400v en parallèle alimentés en permanence pendant le fonctionnement du compresseur ?

Merci pour tout, quant à moi, je me mets en quête de cette fameuse référence 3ARR3W10S3 ou équivalent.
Bien cordialement.

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Bonjour GL et merci pour le temps passé sur mon problème !

J'ai pris le temps de tester les tensions et voici les résultats obtenus :
Dès le démarrage,les tensions se stabilisent à 375/380 v aux bornes des 2 condensateurs.
La tension mesurée aux bornes de l'enroulement S/C est de 280 v (et cette dernière ne décroit que lentement après l’arrêt du compresseur).

J'ai ensuite déposé et ouvert le fameux "relais potentiel" (R). il s'agit d'un relais électromécanique normalement fermé assez rudimentaire mais muni d'une espèce de bilame sur la partie mobile du contact.
J'ai pris la résistance du bobinage et elle est infinie même sur l'échelle 20MΩ... je suppose que le nœud du problème est là :
Le relais ne doit jamais fonctionner et le contact reste au repos, donc fermé.

Je vais essayer de trouver une pièce équivalente mais je crains que ce ne soit pas facile, ensuite je recommanderai un condo de démarrage 250v et j'espère que tout refonctionnera comme avant.

Sinon, pensez-vous que le compresseur soufre plus à chaque démarrage depuis que c'est un condensateur de marche qui fait office de démarreur. Le fonctionnement du chauffage est tout à fait normal, bizarrement...

En tout cas cas, je vous remercie très sincèrement de l’intérêt que vous avez porté à mes question et pour la clarté de vos explications (même si vous m'avez un peu perdu avec Fresnel !)

Je ne manquerai pas de tenir le forum informé de la suite mais ça risque de prendre un peu de temps.
Bien à vous.

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Bien vu @GL, merci : Cs (Start Capacitor) et Cr (Run Capacitor)...
Il s'agit d'une coquille sur la notice Buderus.
La bonne version se trouve sur la datasheet du fabricant du relais (Danfoss).
On retrouve ces repères sur les bornes du compresseur : Start, Run, Commun.
Dès que possible, je soulève le capot et je teste ça en vrai.
Bonne journée et merci encore.

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Le schéma plus complet...

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Bonjour @GL et merci pour votre message !

Donc, il y aurait un condensateur alimenté en permanence (370/440v coque alu) et le second ne servirait qu'au démarrage (250v coque plastique noire).
Le relais qui commande l'alimentation du condensateur de démarrage serait défectueux, fermé en permanence et aurait fait fait griller le relais 250 V d'origine et ensuite le nouveau que j'ai posé.
Le condensateur 40 µF 370/440 VAC que j'ai posé en dépannage supporte quant à lui l'alimentation continue et peut également faire office de condensateur de démarrage.

Je vais creuser cette piste dès que les giboulées se calment un peu, en attendant j'ai trouvé le schéma suivant... auriez-vous une idée de ce qui commande le relais suspect (temporisation, valeur du courant, régime compresseur...) ?

Merci encore pour votre disponibilité !
Michel

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Bonjour.

Si quelqu'un dispose des connaissances et d'un peu de temps, ce serait super...
Je souhaiterais comprendre les différents types de condensateurs et trouver une explication rationnelle à ce que je constate sur ma pompe à chaleur Buderus qui fête son 14ème hiver.
Depuis l'origine, elle est équipée de deux gros condensateurs alimentés par le relais "soft start" monophasé :
- Shizuki WME-RS (60 µF 370/440 VAC) coque alu
- BMI 092A145B250CE7X (145-174 µF 250 VAC) coque Plastique

La PAC est tombée en panne en février dernier : le compresseur refuse de démarrer malgré l'enclenchement du relais... L'odeur et l'aspect du condensateur BMI sont pour le moins suspects : je remplace ce dernier par un condensateur que j'avais sous la main :
- MEATH WME-RS (40 µF 370/440 VAC) coque alu
...et le compresseur redémarre, le chauffage fonctionne normalement.

Je souhaite pérenniser la réparation et je commande un condensateur similaire au BMI qui a grillé :
- condensateur électrolytique de démarrage 160 µF 250V - coque plastique
que je pose à côté du Shizuki WME-RS (60 µF 370/440 VAC) d'origine, mais dès le premier démarrage, le nouveau condensateur brûle (avec de vraies flammes et l'électrolyte qui coule)...

Je remets donc le MEATH WME-RS (40 µF 370/440 VAC) coque alu en place et la PAC redémarre comme si de rien n'était.

Par curiosité, j'ai testé l'alimentation des 2 condensateurs pendant le fonctionnement du compresseur et j'ai mesuré 380VAC sur les deux en permanence (pas seulement au démarrage).

Donc, je suppose que le condensateur neuf que j'ai acheté n'a pas supporté la charge continue puisqu'il s'agit d'un condensateur de démarrage mais le BMI d'origine était également un condensateur de démarrage.

Et si c'est le relais de démarrage progressif qui dysfonctionne en alimentant en permanence un condensateur qui ne devrait l'être qu'au démarrage, pourquoi ma PAC fonctionne-t-elle avec le MEAT ?

Bref, si quelqu'un pouvait me préciser les différents types de condensateurs qu'on trouve habituellement sur ce type de configuration (SOFTSTART), ce serait super, merci d'avance.

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Bonjour,

Citation :
j'ai lancé une cuisson de 25 minutes et le différentiel a disjoncté au bout de 10 minutes.

C'est à dire que seul le différentiel a disjoncté ?

Citation :
Pour pouvoir remonter le différentiel j'ai dû baisser le fusible dédié au four vapeur.
Fusible que je n'ai pu remonter qu'après un certain temps...

C'est à dire qu'avant ce certain temps, en remontant le disjoncteur dédié, vous faisiez disjoncter le différentiel ?

Si la réponse aux deux questions est "oui", il s'agit vraisemblablement d'un problème d'isolation du four et donc le raccordement et l'installation ne sont pas en cause. En supposant, bien sûr que le four est ventilé comme préconisé par le fabricant et que le boitier de raccordement de la photo n'est pas exposé à la vapeur.

Bon courage à vous.

C'est un garçon !

Le mandrin et la mèche se portent bien...
Vous aviez raison : il fallait chasser la mèche en prenant appui sur son épaulement le le bord oblique du mandrin.
Je l'ai fait avec une pièce métallique plate et pointue... et un rectifieur (parfois appelé aussi "marteau").
Mon erreur de départ était de considérer qu'il devait forcément y avoir un verrouillage à débloquer avant de pouvoir extraire plus ou moins facilement la mèche.
Merci encore et bon weekend à tous les bricoleurs !

Bonsoir GL et merci pour votre message.

Je viens de faire une tentative en suivant vos conseils (sans chauffer cependant) mais sans succès.
A vrai dire, j'avais déjà essayé de sortir la mèche "en force" mais sans oser trop forcer. Ma tentative de ce soir fut un peu plus "virile" mais forcer plus reviendrait sans doute à casser...

En voyant la pièce pour la première fois, j'ai pensé que la mèche était coincée dans le mandrin par l'espèce de petite pièce oblique qu'il suffirait d'enfoncer (un peu comme pour débloquer le piston d'un pistolet à colle).

Mais après avoir nettoyé et mis du dégrippant, même coincé dans l'étau, cette petite pièce est comme soudée au mandrin.

Demain, j'essaierai de chauffer et on verra... Je vous tiendrai informé.
En tout cas, merci encore pour votre disponibilité.

Bonjour,

Je récupère un perfo Outifix qui doit avoir une quarantaine d'années.
Je me permets de faire appel à ceux d'entre vous qui auraient utilisé ce type de mandrin je souhaite simplement pouvoir changer de mèche (j'en ai plusieurs toute neuves).
Savez-vous comment se retire une mèche sur ce mandrin (photo jointe)... ?
Merci d'avance pour votre partage d'expérience et à bientôt.

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Bonjour,

Il faudrait nous en dire un peu plus :
Vous disposez d'un groupe capable de démarrer à tout moment sur sa batterie (toujours bien chargée) ?
Que souhaitez-vous alimenter avec cette solution de secours (puissance totale, capacité de ces équipement à refonctionner normalement après quelques secondes de coupure...) ?

Précisez votre projet, nous réfléchirons ensemble.
Cordialement.

Bonjour,

Je viens de jeter un coup d’œil au lien que vous proposez...
Je ne suis pas spécialiste mais les réponses apportées m'inspirent, comment dire... du scepticisme :

"Quelle quantité de chaleur ce chauffage génère-t-il ?
La chaleur générée par ce radiateur de modèle LM-M15Q03 se chiffre à 5 275 kilo joules, soit 5 120 BTU. La valeur en BTU indiquée ici est donc fournie ici à titre indicatif seulement. Notre solution de chauffage présente des avantages manifestes en matière d’efficacité, de sécurité et de confort tout en contribuant à assainir naturellement tout espace intérieur en éliminant 90% à 99,9% de toutes les bactéries et virus de l’air."

C'est de la poudre aux yeux : parler de joules plutôt que de kilowatts heure sans préciser la durée de fonctionnement, c'est sans doute pour faire sérieux mais ça ne veut rien dire.
Je suppose que "la quantité de chaleur générée" de 5275kJ, c'est en 1 heure soit 1465 W, comme un convecteur de base.

Bref, je n'ai pas trouvé le prix mais je suppose que ce n'est pas donné.
Or, si j'ai bien compris, vous envisagez un système d'appoint : vous conservez donc vos convecteurs comme chauffage principal. L’amortissement de cet équipement supplémentaire risque de prendre beaucoup de temps.

Bon courage.

Bonjour à tous et bravo pour la qualité de votre forum.

Notre maison est équipée d'un chauffage central alimenté par une pompe à chaleur air-eau qui nous donne satisfaction depuis plusieurs années (environ 4500 kWh de chauffage par hiver pour 110 m²).
La seule contrainte se présente quand le froid intense s'installe durablement (pas de dégel pendant la journée : c'est assez rare dans notre Seine et Marne).
Dans cette situation, la PAC a besoin d'un appoint ponctuel.
Nous gérions cette contrainte à l'aide de notre antique chaudière fuel Chappée quelques jours par hiver.
Malheureusement, cette chaudière en fonte s'est mise à fuir (cuve oxydée et définitivement HS après 42 ans... RIP).
J'en arrive à ma question : quelle solution d'appoint conseilleriez-vous dans cette situation ? Je cherche donc une solution qui ne servirait que quelques heures, ponctuellement.
Le rendement et la consommation ne sont donc pas essentiels mais la simplicité d'installation, d'utilisation et d'entretien sont prioritaires. Je dispose d'un raccordement ERDF de 30 A et je souhaiterais éviter de le renforcer pour quelques heures par an... Je ne dispose pas de conduit de cheminée...
Je pense à un poêle à pétrole mais j'ai lu que ce mode chauffage dégage pas mal d'humidité...
Je vous remercie d'avance pour vos avis éclairés.